GOURMANDISES
Moi...Lolita
Moi je m’appelle LolitaLo ou bien LolaDu pareil au mêmeMoi je m’appelle LolitaQuand je rêve aux loupsC’est Lola qui saigneQuand fourche ma langue,j’ai là un fou rire aussi fouQu’un phénomèneJe m’appelle LolitaLo de vie, lo aux amours diluviennes
C’est pas ma fauteEt quand je donne ma langue aux chatsJe vois les autresTout prêts à se jeter sur moiC’est pas ma faute à moiSi j’entends tout autour de moiHello, helli, t’es AMoi Lolita
Moi je m’appelle LolitaCollégienne aux basBleus de méthylèneMoi je m’appelle LolitaColéreuse et pasMi-coton, mi-laineMotus et bouche qui n’dis pasÀ maman que je suis un phénomèneJe m’appelle LolitaLo de vie, lo aux amours diluviennes
C’est pas ma fauteEt quand je donne ma langue aux chatsJe vois les autresTout prêts à se jeter sur moiC’est pas ma faute à moiSi j’entends tout autour de moiHello, helli, t’es AMoi Lolita (x2)
Lo-li-ta (8 mal)
C’est pas ma fauteEt quand je donne ma langue aux chatsJe vois les autresTout prêts à se jeter sur moiC’est pas ma faute à moiSi j’entends tout autour de moiHello, helli, t’es AMoi Lolita (x3)
Lui ou Toi
Où est “IL”. Quand il m’abandonne,toute la vie, est loin.Où est “LUI”. J’aime sa voix d’homme.Sans lui “IL” n’est rien.
“Lui” est plus vieux,je porte son pull marine.L’eau de ses yeux, est bleue,d’un bleue des mers de chine.
“IL” est mystérieux.Dans sa stratosphère.Entre les deux, je voulais. Les deux…
J’ai dans le cœur comme un poids.Dans la gorge comme une épine.De n’avoir fait le choix,“LUI” ou “TOI”.Les fenêtres sont en bois, et ce plus assassinesqui coulent au fond de moi.“LUI” ou “TOI”…Où est “IL” ? Quand il n’y a personneToute la ville s’éteint.
“TOI” et “LUI”Mes deux moitiés d’hommeSans eux je n’. Suis rien.“LUI” est si fort. Je ris quand il s’ennuie.Quand il a tort, là, je l’aime encore, il dit :
Qu’ “IL”, est amoureux.Comme l’eau aime la vague.Moi, sans les deux, j’ai du vague. A l’âme.
J’ai dans le cœur comme un poids.Des larmes d’encre de chine.Qui me montrent du doigt,“LUI” ou “TOI”.Retrouver au fond de moi,des rondes enfantines.Mais les chevaux de bois, sont froids.
Où est “IL”. Quand il m’abandonne,toute la vie, est loin.Où est “LUI”. J’aime sa voix d’homme.Sans lui “IL” n’est rien.
“Lui” est plus vieux,je porte son pull marine.L’eau de ses yeux, est bleue,d’un bleue des mers de chine.
“IL” est mystérieux.Dans sa stratosphère.Entre les deux, je voulais. Les deux…
J’ai dans le cœur comme un poids.Dans la gorge comme une épine.De n’avoir fait le choix,“LUI” ou “TOI”.Les fenêtres sont en bois, et ce plus assassinesqui coulent au fond de moi.“LUI” ou “TOI”…Où est “IL” ? Quand il n’y a personneToute la ville s’éteint.
“TOI” et “LUI”Mes deux moitiés d’hommeSans eux je n’. Suis rien.“LUI” est si fort. Je ris quand il s’ennuie.Quand il a tort, là, je l’aime encore, il dit :
Qu’ “IL”, est amoureux.Comme l’eau aime la vague.Moi, sans les deux, j’ai du vague. A l’âme.
J’ai dans le cœur comme un poids.Des larmes d’encre de chine.Qui me montrent du doigt,“LUI” ou “TOI”.Retrouver au fond de moi,des rondes enfantines.Mais les chevaux de bois, sont froids.
L´alizé
Tous les vents,Balayent les mots de coeurMoi, j’suis comme le vent :L’esprit à mille à l’heure,Je juge sans doute trop viteC’est ok, tant pisC’est juste là, je m’agiteJe grandis, l’amour aussi
C’est au gré du ventQue j’aime vagabonder,Moi, je suis comme le ventJ’embrasse toute une arméeDe rêves et de bleuets,Me plonger dedansJe sais ce que je saisMême si j’pleure tout l’tempsAlors, dis.
ArrêtezDe me dire que le vent a tournéC’est pas vraiS’il te plaitArrêtezDe dire que l’adolescence, c’est :Qu’on n’sait pas, car moiJ’ai trouvé mon amourC’est un souffle, c’est doux un ventd’amour :C’est léger, c’est l’alizé,Moi, je dis que l’amourSe boit jusqu’à la lieCe qu’elle veut, A-LIZEE l’a toujours
Comme le ventEmporte les mots de coeurDans un ouraganTourbillon mille à l’heureJe suis sans doute comme luiC’est ok, je suisAux portes de ma vieJe grandis, l’amour aussi
C’est aux quatre ventsQue j’aime être logéeMoi, je suis comme le ventJ’emporte tous mes secretsDans un jardin d’EdenM’allonger dedans,J’espère que cet hymenDurera longtempsAlors, dis
Tous les vents,Balayent les mots de coeurMoi, j’suis comme le vent :L’esprit à mille à l’heure,Je juge sans doute trop viteC’est ok, tant pisC’est juste là, je m’agiteJe grandis, l’amour aussi
C’est au gré du ventQue j’aime vagabonder,Moi, je suis comme le ventJ’embrasse toute une arméeDe rêves et de bleuets,Me plonger dedansJe sais ce que je saisMême si j’pleure tout l’tempsAlors, dis.
ArrêtezDe me dire que le vent a tournéC’est pas vraiS’il te plaitArrêtezDe dire que l’adolescence, c’est :Qu’on n’sait pas, car moiJ’ai trouvé mon amourC’est un souffle, c’est doux un ventd’amour :C’est léger, c’est l’alizé,Moi, je dis que l’amourSe boit jusqu’à la lieCe qu’elle veut, A-LIZEE l’a toujours
Comme le ventEmporte les mots de coeurDans un ouraganTourbillon mille à l’heureJe suis sans doute comme luiC’est ok, je suisAux portes de ma vieJe grandis, l’amour aussi
C’est aux quatre ventsQue j’aime être logéeMoi, je suis comme le ventJ’emporte tous mes secretsDans un jardin d’EdenM’allonger dedans,J’espère que cet hymenDurera longtempsAlors, dis
J.B.G.
J.B.G., Bikini. Son nom de code estJ.B.G., J.B.G.J.B.G., pour la vie, autour du globe c’estL’égérie, J.B.G.
Une James Bond Girl, ca sauve plus d’une vie.C’est l’ecstasy. Une James Bond Girl,c’est de la dynamite. Ses lettre sont J.B.G.
Oh, elle est canon. Calibrée, culottée,un canon de beauté.
Canon, car on, doit tout lui donner.Le bon dieu sans résister, car…
Et si ça se corse, elle se décorsette.Une île de beauté.Gare à qui se comporte, sans l’once d’un tact, etson sang n’est pas du lait.
J.B.G., Bikini. Son nom de code estJ.B.G., J.B.G.J.B.G., pour la vie, autour du globe c’estL’égérie, J.B.G.
Une James Bond Girl, ca sauve plus d’une vie.C’est l’ecstasy. Une James Bond Girl,c’est de la dynamite. Ses lettre sont J.B.G.
Oh, elle est canon. Calibrée, culottée,un canon de beauté.
Canon, car on, doit tout lui donner.Le bon dieu sans résister, car…
Et si ça se corse, elle se décorsette.Une île de beauté.Gare à qui se comporte, sans l’once d’un tact, etson sang n’est pas du lait.
Mon Maquis
C’est un dedale inextricable,Impenetrable aussiC’est mon Maq… mon lit :C’est mon maquis
C’est un reguge, chambre sans vueOu l’air est pur, si purEst mon Maq… mon lit :C’est mon maquisC’est un dedale inextricableDe rires, d’eclats aussiC’est mon Maq… iciC’est mon maquis
C’est un repaire, sur comme un pereSentiers secrets, sentiers de verre,Petit frere… c’est… aussiTa chambre et ton maquis
C’est un dedale inextricableImpenetrable aussiC’est mon Maq… mon lit :C’est mon maquis
C’est un jardin dont le cheminEst bien le sien aussiC’est mon Maq… iciC’est son maquis
Chambre cachette, chambre avec couetteDe pirtouettes en marionettesPetit frere, toi iciMoi, je suis ton amie
C’est un dedale inextricable,Impenetrable aussiC’est mon Maq… mon lit :C’est mon maquis
C’est un reguge, chambre sans vueOu l’air est pur, si purEst mon Maq… mon lit :C’est mon maquisC’est un dedale inextricableDe rires, d’eclats aussiC’est mon Maq… iciC’est mon maquis
C’est un repaire, sur comme un pereSentiers secrets, sentiers de verre,Petit frere… c’est… aussiTa chambre et ton maquis
C’est un dedale inextricableImpenetrable aussiC’est mon Maq… mon lit :C’est mon maquis
C’est un jardin dont le cheminEst bien le sien aussiC’est mon Maq… iciC’est son maquis
Chambre cachette, chambre avec couetteDe pirtouettes en marionettesPetit frere, toi iciMoi, je suis ton amie
Parler tout bas
Les jours de pluieMes jouets sont vivantsLes grands ont des griffesComme des bouts de cimentComment leur direQuand on n’a que seize ansLe lit qu’on defait, n’a plusLe gout du zanA quoi bonLes vies chiffonsLes mots d’amourQui sont trop courts,Moi, j’reve en grandComme l ‘elephantJe reve immenseVentre rondLes yeux profondsMon ours dit a quoi bon ?Son amitieC’est dur a direDure toute la vieAlors lui…
Parler tout basTrouver les mots qu’il fautParler de tout, parler de moiPour trouver le reposSes bras : la douceurIl a un c?ur a l’interieurC’est l’objet de mon cœurC’est pour luiMon poemeAu monde inanime
Les jours de pluieMes jouets sont vivantsLes grands ont des riresQui vous giflentEn passant
A quoi bonL’amour qui fondMoi j’ai un compagnonJe voudrais direPas pour de rireMeme si c’est conJe l’aime, lui..
Les jours de pluieMes jouets sont vivantsLes grands ont des griffesComme des bouts de cimentComment leur direQuand on n’a que seize ansLe lit qu’on defait, n’a plusLe gout du zanA quoi bonLes vies chiffonsLes mots d’amourQui sont trop courts,Moi, j’reve en grandComme l ‘elephantJe reve immenseVentre rondLes yeux profondsMon ours dit a quoi bon ?Son amitieC’est dur a direDure toute la vieAlors lui…
Parler tout basTrouver les mots qu’il fautParler de tout, parler de moiPour trouver le reposSes bras : la douceurIl a un c?ur a l’interieurC’est l’objet de mon cœurC’est pour luiMon poemeAu monde inanime
Les jours de pluieMes jouets sont vivantsLes grands ont des riresQui vous giflentEn passant
A quoi bonL’amour qui fondMoi j’ai un compagnonJe voudrais direPas pour de rireMeme si c’est conJe l’aime, lui..
Veni Vedi Vici
Un zeste de feliciteUn temperament qui fait rireParce que tout peut bien arriverLe temps nous dit c’est plus facileSi on met :
Un zeste de citron dans l’eau,Changer le gout, sans changer l’hydreLa vie est belle pimentee corseeLa vie qui piqueQui pousse comme un champ de ble
Veni, Vedi, ViciC’est de la chance aussiTout petit a petitL’oiseau qui fait son nid, douilletVeni, vedi, viciMa bonne etoile luit, je n’aiPas de mea culpaJ’suis bien la et j’aime ca
Un zeste de feminite
Sur un corps-puce de gamineLes langues sont facilites, jureLe latin je l’aime en chemise,
Un zeste de balbutiementsQuand je me dis : tout va trop viteC’est la que veillent les mamans, j’entendsAu loin les cloches de la ville,Vive le vent…
Un zeste de feliciteUn temperament qui fait rireParce que tout peut bien arriverLe temps nous dit c’est plus facileSi on met :
Un zeste de citron dans l’eau,Changer le gout, sans changer l’hydreLa vie est belle pimentee corseeLa vie qui piqueQui pousse comme un champ de ble
Veni, Vedi, ViciC’est de la chance aussiTout petit a petitL’oiseau qui fait son nid, douilletVeni, vedi, viciMa bonne etoile luit, je n’aiPas de mea culpaJ’suis bien la et j’aime ca
Un zeste de feminite
Sur un corps-puce de gamineLes langues sont facilites, jureLe latin je l’aime en chemise,
Un zeste de balbutiementsQuand je me dis : tout va trop viteC’est la que veillent les mamans, j’entendsAu loin les cloches de la ville,Vive le vent…
Abracadabra
ABRACADABRAMon humeur et moiChangeons de peau aChaque fois
QU’ABRACADABRAVois mon coeur en vracMon humeur est couleurCar en sac
ABRACADABRAQuand mon coeur, il batJ’formule un truc quiles laisse coi
ABRACADABRANTPeut-etre… Mais pas pour moiC’est tres envoutant, sansColorant
ABRACADABRAMon humeur et moiChangeons de peau aChaque fois
QU’ABRACADABRAVoit mon coeur en flaqueMon humeur est couleurTagada
A BRAS RACCOURCISSi on m’tombe dessusSi c’est un souciJe mange plus
ABRACADABRAPatipatataD’la sorcellerieMeme si ca marche pas
BADADAMLalala
ABRACADABRAMon humeur et moiChangeons de peau aChaque fois
QU’ABRACADABRAVois mon coeur en vracMon humeur est couleurCar en sac
ABRACADABRAQuand mon coeur, il batJ’formule un truc quiles laisse coi
ABRACADABRANTPeut-etre… Mais pas pour moiC’est tres envoutant, sansColorant
ABRACADABRAMon humeur et moiChangeons de peau aChaque fois
QU’ABRACADABRAVoit mon coeur en flaqueMon humeur est couleurTagada
A BRAS RACCOURCISSi on m’tombe dessusSi c’est un souciJe mange plus
ABRACADABRAPatipatataD’la sorcellerieMeme si ca marche pas
BADADAMLalala
Gourmandises
Quand tu penses a moiToi le loup des steppesTout au fond de toiRessens-tu l’ivresseJ’ai si faim de toiTu le dis sans cesseEt prendre soin de moiDis-moi si ca blesseOh loup y es-tu pour moiTu fais la promesseEt si je m’offre a toiC’est en milliers baisers de tendresse
Y’ a les baisersLes premiersGout d’embrunsGout de spleenY’ a les baisers volesDans des trains de tsarinesLes baisers d’un eteOu la main s’achemineMais les baisers d’AlizeeSont de vraies gourmandises
Quand je pense a toiToi le loup des steppesJ’n’ai pas peur de toiEst-ce que ca t’oppressePrends ce chemin laTu le dis sans cesseOh couche toi pres de moiEt devore moi des yeux, ma princesse
Pour des baisersLes premiersGout d’embrunsGout de spleenPour des baisers volesDans des trains de tsarinesDes baisers d’un eteOu la main s’achemineMais les baisers d’AlizeeSont de vraies gourmandises.
Quand tu penses a moiToi le loup des steppesTout au fond de toiRessens-tu l’ivresseJ’ai si faim de toiTu le dis sans cesseEt prendre soin de moiDis-moi si ca blesseOh loup y es-tu pour moiTu fais la promesseEt si je m’offre a toiC’est en milliers baisers de tendresse
Y’ a les baisersLes premiersGout d’embrunsGout de spleenY’ a les baisers volesDans des trains de tsarinesLes baisers d’un eteOu la main s’achemineMais les baisers d’AlizeeSont de vraies gourmandises
Quand je pense a toiToi le loup des steppesJ’n’ai pas peur de toiEst-ce que ca t’oppressePrends ce chemin laTu le dis sans cesseOh couche toi pres de moiEt devore moi des yeux, ma princesse
Pour des baisersLes premiersGout d’embrunsGout de spleenPour des baisers volesDans des trains de tsarinesDes baisers d’un eteOu la main s’achemineMais les baisers d’AlizeeSont de vraies gourmandises.
A quoi reve une jeune fille
A quoi reve une jeune filleAssise au bord du NilQu’elle va se fondre dans un echoQui l’emmenera loin, tout la haut
A quoi reve une jeune filleD’Afrique ou de ManilleQu’elle va s’offrir en douce un manteauDans le velours d’une aile d’oiseau
C’est dans les airs…Sans en avoir l’air…Qu’elle s’enivre d’un souffle nouveauEt plus jamais de ronds dans l’eauEt dans les airs…Survoler la terre…Remuer le vent, l’heure et les motsCette fille avait le coeur chaud
A quoi reve une jeune filleQuand le soir s’assombritQue l’aurore lui fera un cadeauQu’elle s’elevera comme un oiseau
A quoi reve cette jeune filleAssise au bord du litD’un fleuve aux cent couleurs, un tableau,Pourtant a l’interieur c’est un faux
A quoi reve une jeune filleAssise au bord du NilQu’elle va se fondre dans un echoQui l’emmenera loin, tout la haut
A quoi reve une jeune filleD’Afrique ou de ManilleQu’elle va s’offrir en douce un manteauDans le velours d’une aile d’oiseau
C’est dans les airs…Sans en avoir l’air…Qu’elle s’enivre d’un souffle nouveauEt plus jamais de ronds dans l’eauEt dans les airs…Survoler la terre…Remuer le vent, l’heure et les motsCette fille avait le coeur chaud
A quoi reve une jeune filleQuand le soir s’assombritQue l’aurore lui fera un cadeauQu’elle s’elevera comme un oiseau
A quoi reve cette jeune filleAssise au bord du litD’un fleuve aux cent couleurs, un tableau,Pourtant a l’interieur c’est un faux
MES COURANTS ELECTRIQUES
J´en ai marre !!!
J’ai la peau douceDans mon bain de mousseJe m’éclabousseJ’en ris …Mon poisson bougeDans mon bain de mousseJe l’emmitoufle, jeLui dis
J’ai pas de problèmes, je fainéante…Pas de malaises, je fainéanteDans l’eau je baigne, c’est l’importantBien à mon aise, dans l’air du temps
J’ai la peau douceDans mon bain de mousseJe brule à l’ombreDes bombesTout est déliceDélit docile :Je fais la listeDes choses…quiM’indisposent
J’en ai marre de ceux qui pleurent.Qui ne roulent qu’à deuxà l’heure,Qui se lamentent et qui s’fixentSur l’idée d’une idée fixeJ’en ai marre de ceux qui râlent.Des extrêmistes à deux balles,Qui voient la vie tout en noirQui m’expédient dans l’cafardJ’en ai marre de la grande soeur,Qui gémit tout et qui pleure,Marre de la pluie, des courgettesQui m’font vomir sous la couetteJ’en ai marre de ces cyniques,Et dans les prés, les colchiques,J’en ai marre d’en avoir marre ! Aussi
J’ai la peau douceDans mon bain de moussePas de secoussesSismiques…Je me prélasseEt me délasseC’est mon état aquatiqueY’a comme un hic
J’en ai marre de ceux qui pleurent.Qui ne roulent qu’à deuxà l’heure,Qui se lamentent et qui s’fixentSur l’idée d’une idée fixeJ’en ai marre de ceux qui râlent.Des extrêmistes à deux balles,Qui voient la vie tout en noirQui m’expédient dans l’cafardJ’en ai marre de la grande soeur,Qui gémit tout et qui pleure,Marre de la pluie, des courgettesQui m’font vomir sous la couetteJ’en ai marre de ces cyniques,Et dans les prés, les colchiques,J’en ai marre d’en avoir marre ! Aussi
A contre-courant
Nos universA contre-courantTout à l’envers…Pas pour longtemps!Quand tu es sur terreMets-moi au courantQue j’imagine…Nos fusions.On se désireSous haute-tensionMais pas de prises…De nerfs, je con……cilie tes riresEt mes électronsUn bal de vieBal de ballons
Rien d’ordinaireRien que du bon tempsTête à l’envers…Pas trop longtemps.Quand tu es sur terreMets-moi au courantQue je devine…Les intentions.On s’électrise:Tension maximaleLes corps-circuits…De deux amantsOn s’illumineLumière animaleL’école de l’é……lectro-aimant.
Retrouver le sensDe la vie, je pensePasse par l’ennuiQuand toi, tu es parti,Retrouver les sensMoments qui s’insolencentDes défiles de doigts,De mon envie de toi.Quand le courant passe, aussi la menaceDu temps qui se barre, du temps qui nous sépareEt le courant passe, j’ai en moi l’audaceDu champs magnétique, et ça c’est magnifique!
Nos universA contre-courantReviens sur terreEt pour de bonQuand tu m’espèresMets-moi au courantQue j’envisage…Une rébellionOn se statiqueQuand je lui dis non,Pas plus de six…AllocutionsIl me paniqueD’électrocutionMon isolantC’est la passion
Retrouver le sensDe la vie, je pensePasse par l’ennuiQuand toi, tu es parti,Retrouver les sensMoments qui s’insolencentDes défiles de doigts,De mon envie de toi.Quand le courant passe, aussi la menaceDu temps qui se barre, du temps qui nous sépareEt le courant passe, j’ai en moi l’audaceDu champs magnétique, et ça c’est magnifique!
Toc de Mac
J’m'ai pendu par les pieds…C’est le plus bizarre que j’ai fait!Descendu l’escalier,quatre à quatre pour te retrouver.C’est vrai. Tes allures “d’allumé!”C’est “l’hallu” de tout le quartier.Tu es mon être parfait.Mon double expresso, mon amphet!Tu m’as vu, tu m’as plu!Reconnue, la toc attitude!Tu es venu, en tutu.Des idés… de grande aventure.Mâcher ses motspas chez moi, pas chez touak!Chasser l’ego!Pourquoi qui?Pourquoi faire?L’alter ego!Tes choix c’est toc de mac!T’es hyper beau!Loue-moi louptoute entière…
J’mets la flûte enchantée.C’est le bal le mieux pour danser!Crevée, flagada, fatiguée.Mais… montées de joie plein la tête! Tu lisles fleurs du mal “aimé”,c’est le livre le mieux pour l’été!Tu es mon maître à penser.Mon maître à faire des galipettes…
J’ai la peau douceDans mon bain de mousseJe m’éclabousseJ’en ris …Mon poisson bougeDans mon bain de mousseJe l’emmitoufle, jeLui dis
J’ai pas de problèmes, je fainéante…Pas de malaises, je fainéanteDans l’eau je baigne, c’est l’importantBien à mon aise, dans l’air du temps
J’ai la peau douceDans mon bain de mousseJe brule à l’ombreDes bombesTout est déliceDélit docile :Je fais la listeDes choses…quiM’indisposent
J’en ai marre de ceux qui pleurent.Qui ne roulent qu’à deuxà l’heure,Qui se lamentent et qui s’fixentSur l’idée d’une idée fixeJ’en ai marre de ceux qui râlent.Des extrêmistes à deux balles,Qui voient la vie tout en noirQui m’expédient dans l’cafardJ’en ai marre de la grande soeur,Qui gémit tout et qui pleure,Marre de la pluie, des courgettesQui m’font vomir sous la couetteJ’en ai marre de ces cyniques,Et dans les prés, les colchiques,J’en ai marre d’en avoir marre ! Aussi
J’ai la peau douceDans mon bain de moussePas de secoussesSismiques…Je me prélasseEt me délasseC’est mon état aquatiqueY’a comme un hic
J’en ai marre de ceux qui pleurent.Qui ne roulent qu’à deuxà l’heure,Qui se lamentent et qui s’fixentSur l’idée d’une idée fixeJ’en ai marre de ceux qui râlent.Des extrêmistes à deux balles,Qui voient la vie tout en noirQui m’expédient dans l’cafardJ’en ai marre de la grande soeur,Qui gémit tout et qui pleure,Marre de la pluie, des courgettesQui m’font vomir sous la couetteJ’en ai marre de ces cyniques,Et dans les prés, les colchiques,J’en ai marre d’en avoir marre ! Aussi
A contre-courant
Nos universA contre-courantTout à l’envers…Pas pour longtemps!Quand tu es sur terreMets-moi au courantQue j’imagine…Nos fusions.On se désireSous haute-tensionMais pas de prises…De nerfs, je con……cilie tes riresEt mes électronsUn bal de vieBal de ballons
Rien d’ordinaireRien que du bon tempsTête à l’envers…Pas trop longtemps.Quand tu es sur terreMets-moi au courantQue je devine…Les intentions.On s’électrise:Tension maximaleLes corps-circuits…De deux amantsOn s’illumineLumière animaleL’école de l’é……lectro-aimant.
Retrouver le sensDe la vie, je pensePasse par l’ennuiQuand toi, tu es parti,Retrouver les sensMoments qui s’insolencentDes défiles de doigts,De mon envie de toi.Quand le courant passe, aussi la menaceDu temps qui se barre, du temps qui nous sépareEt le courant passe, j’ai en moi l’audaceDu champs magnétique, et ça c’est magnifique!
Nos universA contre-courantReviens sur terreEt pour de bonQuand tu m’espèresMets-moi au courantQue j’envisage…Une rébellionOn se statiqueQuand je lui dis non,Pas plus de six…AllocutionsIl me paniqueD’électrocutionMon isolantC’est la passion
Retrouver le sensDe la vie, je pensePasse par l’ennuiQuand toi, tu es parti,Retrouver les sensMoments qui s’insolencentDes défiles de doigts,De mon envie de toi.Quand le courant passe, aussi la menaceDu temps qui se barre, du temps qui nous sépareEt le courant passe, j’ai en moi l’audaceDu champs magnétique, et ça c’est magnifique!
Toc de Mac
J’m'ai pendu par les pieds…C’est le plus bizarre que j’ai fait!Descendu l’escalier,quatre à quatre pour te retrouver.C’est vrai. Tes allures “d’allumé!”C’est “l’hallu” de tout le quartier.Tu es mon être parfait.Mon double expresso, mon amphet!Tu m’as vu, tu m’as plu!Reconnue, la toc attitude!Tu es venu, en tutu.Des idés… de grande aventure.Mâcher ses motspas chez moi, pas chez touak!Chasser l’ego!Pourquoi qui?Pourquoi faire?L’alter ego!Tes choix c’est toc de mac!T’es hyper beau!Loue-moi louptoute entière…
J’mets la flûte enchantée.C’est le bal le mieux pour danser!Crevée, flagada, fatiguée.Mais… montées de joie plein la tête! Tu lisles fleurs du mal “aimé”,c’est le livre le mieux pour l’été!Tu es mon maître à penser.Mon maître à faire des galipettes…
Amelie m´a dit
Solitaire, petit nuage rondDans le ciel, des formes à l’abandon…La lumière, l’étincelle qui lui ditQue la mienne se languit de lui, mais
J’appréhende l’ombreQu’il fait sur moi, quand ca n’va pasComprendre ses ombres,L’aider s’il a, confiance en moiCouper la machine, qui fait la pluie, changer la vieQue tout est possible, c’est Amélie, qui me l’a dit…
Amélie a de l’or à donnerMélodie de vie, c’est l’odysséeL’Amélie c’est comme l’amitiéDe la poésie au bout des lèvres
Amélie a de l’or à donnerLes mots d’Amélie sont pleins de mielAmélie câline ou cajoléeMélodie de vie, ode à la mienne
Solitaire dans mon photomatonJ’suis pas belle, mais c’est à l’unissonsQu’on s’appelle, qu’on se cherche, on se suit, maisMoi je veille. Amélie aussi.
Les lumières de maiElles si douces, si farouchesDessinaient les gestesEt du rouge, sur ma bouche …Mon maître à faire des galipettes.
Solitaire, petit nuage rondDans le ciel, des formes à l’abandon…La lumière, l’étincelle qui lui ditQue la mienne se languit de lui, mais
J’appréhende l’ombreQu’il fait sur moi, quand ca n’va pasComprendre ses ombres,L’aider s’il a, confiance en moiCouper la machine, qui fait la pluie, changer la vieQue tout est possible, c’est Amélie, qui me l’a dit…
Amélie a de l’or à donnerMélodie de vie, c’est l’odysséeL’Amélie c’est comme l’amitiéDe la poésie au bout des lèvres
Amélie a de l’or à donnerLes mots d’Amélie sont pleins de mielAmélie câline ou cajoléeMélodie de vie, ode à la mienne
Solitaire dans mon photomatonJ’suis pas belle, mais c’est à l’unissonsQu’on s’appelle, qu’on se cherche, on se suit, maisMoi je veille. Amélie aussi.
Les lumières de maiElles si douces, si farouchesDessinaient les gestesEt du rouge, sur ma bouche …Mon maître à faire des galipettes.
C´est trop tard
J’envie, les bulles… de tes savonsJ’envie, tes julles… j’envie tes juponsJ’envie, tes pulls… qui sentent bonJ’envie, les jours… où tu lui dis non!
Jeudi c’est nul… Je dors ici.Je “dis ridicule…, je n’sais plus c’que j’dis!!!Jeudi c’est “mulles…” pour les “garçons”Un jeu de quilles… rien qu’un jeu de con!
C’est trop tard! Pour l’histoireBien trop tard! J’en ai marreC’est trop tard! Si tu parsParce qu’entre nous c’était un peu bizarre…J’me barre!C’est trop tard! Pour y croireBien trop tard! Oui, y’en a marre!C’est trop tard! Si c’est ton “art” …Ou du cochon moi j’ai pas d’opinion.T’es con!
J’envie, les notes… de tes chansonsJ’envie, tes potes… j’envie tes juronsJ’envie, tes “folles”… intentionsL’envie décolle… quand tu me dis non.
Jeudi c’est colle… Je sors d’iciJe dis: l’école, ne sait pas c’que j’vis !Jeudi c’est l’homme… de mes nuitsQui me cajole… et qui m’éconduit.
Calamity, calamity, han-hanCalamity, calamity, la vie
J’envie, les bulles… de tes savonsJ’envie, tes julles… j’envie tes juponsJ’envie, tes pulls… qui sentent bonJ’envie, les jours… où tu lui dis non!
Jeudi c’est nul… Je dors ici.Je “dis ridicule…, je n’sais plus c’que j’dis!!!Jeudi c’est “mulles…” pour les “garçons”Un jeu de quilles… rien qu’un jeu de con!
C’est trop tard! Pour l’histoireBien trop tard! J’en ai marreC’est trop tard! Si tu parsParce qu’entre nous c’était un peu bizarre…J’me barre!C’est trop tard! Pour y croireBien trop tard! Oui, y’en a marre!C’est trop tard! Si c’est ton “art” …Ou du cochon moi j’ai pas d’opinion.T’es con!
J’envie, les notes… de tes chansonsJ’envie, tes potes… j’envie tes juronsJ’envie, tes “folles”… intentionsL’envie décolle… quand tu me dis non.
Jeudi c’est colle… Je sors d’iciJe dis: l’école, ne sait pas c’que j’vis !Jeudi c’est l’homme… de mes nuitsQui me cajole… et qui m’éconduit.
Calamity, calamity, han-hanCalamity, calamity, la vie
Tempéte
Brume, le jour se lève,Ombre et tempête…Il s’ennui.Elle, la Sainte Hélène qui sait sa fièvre,Lui dit:Rêve d’un autre rêve, d’une île d’Elbe.Ton amie…C’est ta sêve, accours vers celleQui t’es fidèle et puis t’oublie!
En amourCompter les batailles qui t’ont fait mal…Plus d’amourTous les équipages ont pris le large.Pauvre amourJe cueille ta fierté qui s’est blessée…Oh! AmourFaut-il que ton deuil dure des années.Pour m’aimer
Aigle, le jour s’élèveQui te célèbreC’est ainsi.Elle, la Belle Hélène, rejoint la terre des“Maudits”“L’ogre” git sous l’écorce, mais dans sa poche un…Lourd secretC’est lui l’homme, qui se mélangeAux pluies de cendres, que j’aimais..
Brume, le jour se lève,Ombre et tempête…Il s’ennui.Elle, la Sainte Hélène qui sait sa fièvre,Lui dit:Rêve d’un autre rêve, d’une île d’Elbe.Ton amie…C’est ta sêve, accours vers celleQui t’es fidèle et puis t’oublie!
En amourCompter les batailles qui t’ont fait mal…Plus d’amourTous les équipages ont pris le large.Pauvre amourJe cueille ta fierté qui s’est blessée…Oh! AmourFaut-il que ton deuil dure des années.Pour m’aimer
Aigle, le jour s’élèveQui te célèbreC’est ainsi.Elle, la Belle Hélène, rejoint la terre des“Maudits”“L’ogre” git sous l’écorce, mais dans sa poche un…Lourd secretC’est lui l’homme, qui se mélangeAux pluies de cendres, que j’aimais..
J´ai pas vingt ans
C’est pas l’histoire d’un jourQui rime avec amour,Plutôt un long séjourMais pas: un “pour toujours”J’veux pas d’un “pour la vie” qui mène au paradis,Moi j’ai le temps!C’est juste un compromis, un peu comme l’eau de pluieQui devient l’océan…C’est pas l’enfer non plusQuestion d’habitude…Si c’est pas pour la vie, tant pis,Alors dis oui…
J’aime pas l’habitude!J’aime pas quand ça dure!J’ai pas vingt ans…J’ai pas d’attitude… Même si j’ai l’allure!J’ai pas vingt ans… Et des talons aiguilles: un talent de fille,Mélodie du vent…Je change comme je rime, cachet d’aspirine,On est vieux à vingt ans…Moi j’ai le temps!
C’est pas l’histoire d’amourQui coule comme l’AdourPlutôt un courant d’airQui souffle sur ta terreJ’veux plus d’un: je m’attache, qui m’ennuie et me fâcheMoi j’ai le temps!Plutôt un coup d’audace, faut m’aimer à ma placeEt m’attendre au tournant
La la la la la, mélodie du vent…
C’est pas l’histoire d’un jourQui rime avec amour,Plutôt un long séjourMais pas: un “pour toujours”J’veux pas d’un “pour la vie” qui mène au paradis,Moi j’ai le temps!C’est juste un compromis, un peu comme l’eau de pluieQui devient l’océan…C’est pas l’enfer non plusQuestion d’habitude…Si c’est pas pour la vie, tant pis,Alors dis oui…
J’aime pas l’habitude!J’aime pas quand ça dure!J’ai pas vingt ans…J’ai pas d’attitude… Même si j’ai l’allure!J’ai pas vingt ans… Et des talons aiguilles: un talent de fille,Mélodie du vent…Je change comme je rime, cachet d’aspirine,On est vieux à vingt ans…Moi j’ai le temps!
C’est pas l’histoire d’amourQui coule comme l’AdourPlutôt un courant d’airQui souffle sur ta terreJ’veux plus d’un: je m’attache, qui m’ennuie et me fâcheMoi j’ai le temps!Plutôt un coup d’audace, faut m’aimer à ma placeEt m’attendre au tournant
La la la la la, mélodie du vent…
Hey amigo
Déambule,Déhanche-toi plusElle déambule,Dans tes avenues, tes rues,“Mets les hommes”…A ses pieds si tendres,Barcelone, fais lui bien comprendre:Qu’elle se trompeQuel qu’en soit l’émoiElle se trompe,Car elle est comme toi, un chatQui onduleQui fait le dos rondElle manipule, celui qui dit non
Hey! Amigo!Elle veut du haut, elle veut ta peauEt sur son dos, un tatouage.Hey! Amigo!Mi amigo, elle veut du beauEt d’un amour, sans maquillage.
Déambule,Déhanche-toi plusElle déambule,Dans tes avenues, tes rures.“Mets les voiles”…A son doux visageBarcelona, prends-la en otage.Elle se donneQuel qu’en soit le poidsOui, elle se donne,Car elle est comme toi, un chatQui minaude…Qui feint, et salue l’hommeElle se sauve d’un bondComme elle s’envole!
Hey! Amigo!Elle veut du haut, elle veut ta peauEt sur son dos, un tatouage.Hasta luego,Mi amigo, elle veut du beauEt d’un amour sans maquillage
Déambule,Déhanche-toi plusElle déambule,Dans tes avenues, tes rues,“Mets les hommes”…A ses pieds si tendres,Barcelone, fais lui bien comprendre:Qu’elle se trompeQuel qu’en soit l’émoiElle se trompe,Car elle est comme toi, un chatQui onduleQui fait le dos rondElle manipule, celui qui dit non
Hey! Amigo!Elle veut du haut, elle veut ta peauEt sur son dos, un tatouage.Hey! Amigo!Mi amigo, elle veut du beauEt d’un amour, sans maquillage.
Déambule,Déhanche-toi plusElle déambule,Dans tes avenues, tes rures.“Mets les voiles”…A son doux visageBarcelona, prends-la en otage.Elle se donneQuel qu’en soit le poidsOui, elle se donne,Car elle est comme toi, un chatQui minaude…Qui feint, et salue l’hommeElle se sauve d’un bondComme elle s’envole!
Hey! Amigo!Elle veut du haut, elle veut ta peauEt sur son dos, un tatouage.Hasta luego,Mi amigo, elle veut du beauEt d’un amour sans maquillage
L´e-mail a des ailes
Tout… est écritMais ma vie est l’uniqueC’est sous… l’encre quiEntre en vie… que je m’esquisse.
L’au… teur, un coeurEntre ses doigts d’artisteC’est lui qui effleureLe mien… qui bat pour lui dire
Lui dire:Si l’amourEst confidentielReviens à l’amourL’e-mail a des ailesDes mots qu’on s’envoieMémos et des mailsC’est aux bouts de ses doigtsQue s’envolentMes mots qui s’emmêlent
Tout… est écritMais son clavier me tisseDes choses closes…Des émois qui sont à moi…
Rouge, deux trois touchesEt c’est le fruit qui s’exquiseSon souffle qui m’entrouveQui déboutonna ma vie
Tout… est écritMais ma vie est l’uniqueC’est sous… l’encre quiEntre en vie… que je m’esquisse.
L’au… teur, un coeurEntre ses doigts d’artisteC’est lui qui effleureLe mien… qui bat pour lui dire
Lui dire:Si l’amourEst confidentielReviens à l’amourL’e-mail a des ailesDes mots qu’on s’envoieMémos et des mailsC’est aux bouts de ses doigtsQue s’envolentMes mots qui s’emmêlent
Tout… est écritMais son clavier me tisseDes choses closes…Des émois qui sont à moi…
Rouge, deux trois touchesEt c’est le fruit qui s’exquiseSon souffle qui m’entrouveQui déboutonna ma vie
Youpidou
YoupidouJ’ai quitté l’écoleYoupidouEt pas d’Interpol!YoupidouDélaissé mon hommeUn voyou!Un vrai Al Capone
YoupidouC’est bien lui qu’on nommeYoupidouUne grande personneQui voit tout…Mais là, je m’intoxeYoupidouEt lui qui s’en moque!
Tes mots d’amour, c’est pas le jour!Un mot de trop, c’est ce qu’il faut.J’vais faire un tour, aux alentours…J’ai le moral au grand zéro.T’es mots d’amour, c’est pas le jour!Un mot de trop, c’est ce qu’il faut.J’vais méditer aux alentours…Tout quitter, coller les morceaux.
YoupidouJe suis sur la routeYoupidouQuitter coûte que coûteYoupidouSa mine maussadeYoupidouJe pars en ballade
YoupidouC’est dans mon bolideYoupidouQue je fais le videRendez-vousPour une vie solaire!G’noux, caillouxEt plus de galères!
YoupidouJ’ai quitté l’écoleYoupidouEt pas d’Interpol!YoupidouDélaissé mon hommeUn voyou!Un vrai Al Capone
YoupidouC’est bien lui qu’on nommeYoupidouUne grande personneQui voit tout…Mais là, je m’intoxeYoupidouEt lui qui s’en moque!
Tes mots d’amour, c’est pas le jour!Un mot de trop, c’est ce qu’il faut.J’vais faire un tour, aux alentours…J’ai le moral au grand zéro.T’es mots d’amour, c’est pas le jour!Un mot de trop, c’est ce qu’il faut.J’vais méditer aux alentours…Tout quitter, coller les morceaux.
YoupidouJe suis sur la routeYoupidouQuitter coûte que coûteYoupidouSa mine maussadeYoupidouJe pars en ballade
YoupidouC’est dans mon bolideYoupidouQue je fais le videRendez-vousPour une vie solaire!G’noux, caillouxEt plus de galères!
Coeur deja pris
De t’attendreSi c’est ainsiMais comprendreQue l’ennemieN’a pas de voixN’est pas celle qu’on croitVa comprendreQue c’est le temps qui nous uniras?En dormantEst-elle “toile”?Est-elle tendre, ses doigtsSont-ils aimants?Je vois ses gestesQui ressemblent… aux miensEst-elle jeunesse, je laisseLe poids de mon destin… entre… tes mainsRetiens
Retiens-moi pour l’amour de l’autreRetiens-moi, ce n’est pas de ma fauteMême, si je vois, c’est mon choix:Ton coeur est dé…jà pris, aus..…si je crois, que l’amour est parfais, ainsi.Et retiens-moiC’était dit, je sais: ton coeur est pris, etRetiens-moiMême si c’est… ainsi.
De t’attendreSi c’est ainsiMais suprendreTous les non-ditsJe perds ma voixQuand je suis près de toiVa comprendreSi c’est le temps qui nous manquera?En dormant Est-elle “toile”?Est-elle tendre, ses doigtsSont-ils aimants?Je vois tes gestesQui s’assemblent… au miensDes vraies caresses, je laisseLe poids de son chagrin…Entre… tes mains,
De t’attendreSi c’est ainsiMais comprendreQue l’ennemieN’a pas de voixN’est pas celle qu’on croitVa comprendreQue c’est le temps qui nous uniras?En dormantEst-elle “toile”?Est-elle tendre, ses doigtsSont-ils aimants?Je vois ses gestesQui ressemblent… aux miensEst-elle jeunesse, je laisseLe poids de mon destin… entre… tes mainsRetiens
Retiens-moi pour l’amour de l’autreRetiens-moi, ce n’est pas de ma fauteMême, si je vois, c’est mon choix:Ton coeur est dé…jà pris, aus..…si je crois, que l’amour est parfais, ainsi.Et retiens-moiC’était dit, je sais: ton coeur est pris, etRetiens-moiMême si c’est… ainsi.
De t’attendreSi c’est ainsiMais suprendreTous les non-ditsJe perds ma voixQuand je suis près de toiVa comprendreSi c’est le temps qui nous manquera?En dormant Est-elle “toile”?Est-elle tendre, ses doigtsSont-ils aimants?Je vois tes gestesQui s’assemblent… au miensDes vraies caresses, je laisseLe poids de son chagrin…Entre… tes mains,
PSYCHEDELICES
Mademoiselle Juliette
Mademoiselle juliette aSon Roméo dans l’AlfaDe Vérone à Rome elle courtJolie syndrome de l’amour
Shakespeare s’amuse de sa museL’héroïne trouve qu’il abuseElle monte vite dans les toursLe grand écrivain aime lui jouer des tours
Mademoiselle JulietteA pas vraiment la têteÀ choisir entre Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerait faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Mademoiselle prends des ailesNe pas se faire mettre en pièceDans son rôle elle ne veut qu’ellePas de réplique de toute pièces
Cette commedia dell’arteN’est pas assez déjantéeQu’enfin William rende l’âmeIl n’y a plus que ça pour éviter le drame
Mademoiselle JulietteA pas vraiment la têteÀ choisir entre Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerai faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Mademoiselle Juliette aPas vraiment la tête àPleurer sur Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerai faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Ahhhhhhhhhhh…Ahhhhhhhhhhh…Ahhhhhhhhhhh…Ahhhhhhhhhhh…
Mademoiselle JulietteA pas vraiment la tête àChoisir entre Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerai faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Mademoiselle JulietteA plus vraiment la têteÀ pleurer sur Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerai faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Mademoiselle
Mademoiselle juliette aSon Roméo dans l’AlfaDe Vérone à Rome elle courtJolie syndrome de l’amour
Shakespeare s’amuse de sa museL’héroïne trouve qu’il abuseElle monte vite dans les toursLe grand écrivain aime lui jouer des tours
Mademoiselle JulietteA pas vraiment la têteÀ choisir entre Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerait faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Mademoiselle prends des ailesNe pas se faire mettre en pièceDans son rôle elle ne veut qu’ellePas de réplique de toute pièces
Cette commedia dell’arteN’est pas assez déjantéeQu’enfin William rende l’âmeIl n’y a plus que ça pour éviter le drame
Mademoiselle JulietteA pas vraiment la têteÀ choisir entre Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerai faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Mademoiselle Juliette aPas vraiment la tête àPleurer sur Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerai faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Ahhhhhhhhhhh…Ahhhhhhhhhhh…Ahhhhhhhhhhh…Ahhhhhhhhhhh…
Mademoiselle JulietteA pas vraiment la tête àChoisir entre Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerai faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Mademoiselle JulietteA plus vraiment la têteÀ pleurer sur Montaigu Capulet
Mademoiselle JulietteAimerai faire la fêteChampagne à sabrer coke à décapsuler
Mademoiselle
Fifty Sixty
Pretty sixteenBelle héroïneDes sixtiesTu te dandinesT’es divineQuand tu danses dans les yeux d’Andy
Adieu be-bopPlus au topC’est le pop-artQui te sapeÀ la trappePop-corn et hoola-hop
Rêve de gloire et de fortuneChic en Chanel l’amour est toujours glamourAux expos tu poses et t’exposesÀ 400 ASA tu osesToutes les poses
Fifty-sixtyNée en cinquante sexy soixanteSi excitanteS’extasieCandide elle croit tout ce qu’AndyQu’Andy dit d’elleQu’elle est la plus belleDe toutes les modèles
Comme une icôneSous le NikonTu tournes la têteAu velvetEt NicoTe voudrait loin de Lou Reed
À East VillageY a pas d’âgeOn est tous jeunesEmmène moiTaxi jauneLa d’où vient la légende
Rêve de gloire et de fortuneChic en Chanel l’amour sera toujours glamourJe te regarde en polaroidTu sais le temps n’a pasPris une ride
Fifty-sixtyNée en cinquante sexy soixanteSi excitanteS’extasieCandide elle croit tout ce qu’on ditCe qu’on dit d’elleQu’elle est la plus belleDe tout les modèles
Le flower powerEst mort sur le dance-floorL’électro le punk n’existe pas encoreEnlève le roll’n’ aux rockersOn a changé d’époqueLe rock roule en rollerLa pop est en cloque
Le flower powerEst mort de sa belle mortNew-wave et techno n’existent pas encoreVas-y joue le ton dernier rôleN’est plus là le dandyMais tu danses encore dans les yeux de Warhol
Fifty-sixtyNée en cinquante sexy soixanteSi excitanteS’extasieCandide elle croit tout ce qu’on ditCe qu’on dit d’elleQu’elle est la plus belleLa plus belle
Fifty-sixtyNée en cinquante sexy soixanteSi excitanteS’extasieCandide elle croit tout ce qu’on ditCe qu’on dit d’elleQu’elle est la plus bellede touses les modèles
Pretty sixteenBelle héroïneDes sixtiesTu te dandinesT’es divineQuand tu danses dans les yeux d’Andy
Adieu be-bopPlus au topC’est le pop-artQui te sapeÀ la trappePop-corn et hoola-hop
Rêve de gloire et de fortuneChic en Chanel l’amour est toujours glamourAux expos tu poses et t’exposesÀ 400 ASA tu osesToutes les poses
Fifty-sixtyNée en cinquante sexy soixanteSi excitanteS’extasieCandide elle croit tout ce qu’AndyQu’Andy dit d’elleQu’elle est la plus belleDe toutes les modèles
Comme une icôneSous le NikonTu tournes la têteAu velvetEt NicoTe voudrait loin de Lou Reed
À East VillageY a pas d’âgeOn est tous jeunesEmmène moiTaxi jauneLa d’où vient la légende
Rêve de gloire et de fortuneChic en Chanel l’amour sera toujours glamourJe te regarde en polaroidTu sais le temps n’a pasPris une ride
Fifty-sixtyNée en cinquante sexy soixanteSi excitanteS’extasieCandide elle croit tout ce qu’on ditCe qu’on dit d’elleQu’elle est la plus belleDe tout les modèles
Le flower powerEst mort sur le dance-floorL’électro le punk n’existe pas encoreEnlève le roll’n’ aux rockersOn a changé d’époqueLe rock roule en rollerLa pop est en cloque
Le flower powerEst mort de sa belle mortNew-wave et techno n’existent pas encoreVas-y joue le ton dernier rôleN’est plus là le dandyMais tu danses encore dans les yeux de Warhol
Fifty-sixtyNée en cinquante sexy soixanteSi excitanteS’extasieCandide elle croit tout ce qu’on ditCe qu’on dit d’elleQu’elle est la plus belleLa plus belle
Fifty-sixtyNée en cinquante sexy soixanteSi excitanteS’extasieCandide elle croit tout ce qu’on ditCe qu’on dit d’elleQu’elle est la plus bellede touses les modèles
Mon taxi driver
Éteint le moteurLaisse le compteurQue les aiguilles jouent les anguilles
Laissons les voleursVoler nos douleursLaissons rouler ce qui prient
Laisse les menteursNier la chaleurLa mècanique au coeur des filles
Feu vert mon overGoutte la saveurSous mon pull-over
Si sexy mon taxi driverC’est accidentelC’est arrêt du cœur
Tarif féeriqueSons périphériquesLa rue meurt de tant de fureur
Métal et plastiqueLa fille élastiqueNous fait danser de vos bonheurs
Feu vert mon loverGoutte la saveurSous mon pull-over
Fais moi une faveur mon loverC’est providentielCe fut jamais vert
Si sexy mon taxi driver
Ma petite musique (whispering)Me rend électrique (whispering)
Si sexy mon taxi driverLangueur et saveurRêveur for ever
Si sexy mon taxi driver,C’est accidentelC’est arrêt du coeur
Feu vert mon loverGoutte la saveurSous mon pull-over
Fais moi une faveur mon lover,C’est providentiel,Ce fut jamais vert
Éteint le moteurLaisse le compteurQue les aiguilles jouent les anguilles
Laissons les voleursVoler nos douleursLaissons rouler ce qui prient
Laisse les menteursNier la chaleurLa mècanique au coeur des filles
Feu vert mon overGoutte la saveurSous mon pull-over
Si sexy mon taxi driverC’est accidentelC’est arrêt du cœur
Tarif féeriqueSons périphériquesLa rue meurt de tant de fureur
Métal et plastiqueLa fille élastiqueNous fait danser de vos bonheurs
Feu vert mon loverGoutte la saveurSous mon pull-over
Fais moi une faveur mon loverC’est providentielCe fut jamais vert
Si sexy mon taxi driver
Ma petite musique (whispering)Me rend électrique (whispering)
Si sexy mon taxi driverLangueur et saveurRêveur for ever
Si sexy mon taxi driver,C’est accidentelC’est arrêt du coeur
Feu vert mon loverGoutte la saveurSous mon pull-over
Fais moi une faveur mon lover,C’est providentiel,Ce fut jamais vert
Jamais plus
Hier never moreMais hier à tortAujourd’hui vois tuC’est jamais plus
Oublier j’adoreCa se fait sans effortC’est vite disparuEt jamais plus
Never more jamais plusA corps perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Seule assise au bordDu vide j’exploreCherchat une issueC’est jamais plus
Never more jamais plusA coprs perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Never more jamais plusA coprs perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Rapide, indoloreJ’ai mieux que la mor-Phine ou bien jesusC’est “jamais plus”
Never more jamais plusA corps perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Never more jamais plusA corps perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Hier never moreMais hier à tortAujourd’hui vois tuC’est jamais plus
Oublier j’adoreCa se fait sans effortC’est vite disparuEt jamais plus
Never more jamais plusA corps perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Seule assise au bordDu vide j’exploreCherchat une issueC’est jamais plus
Never more jamais plusA coprs perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Never more jamais plusA coprs perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Rapide, indoloreJ’ai mieux que la mor-Phine ou bien jesusC’est “jamais plus”
Never more jamais plusA corps perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Never more jamais plusA corps perduNever more jamais plusMon ange decuNever more jamais plusTout est foutuNever more jamais plus
Psychédélices
D’où est d’où vient l’hommeC’est la question qui nous taraudeD’où est d’où est l’âmeQui donc a inventé le code
Avant toi tant d’autres ont cherchéA le toucher le cielMême artificiel
Doué pour volerL’oiseau existe ta jalousieFerme les voletsTu pourrais te prendre pour lui
Acide est la vie qui t’entoureAutour de moi l’amourA si peur du vide
PsychédélicesL’hélice s’éclipseTu bois le caliceJusqu’à l’hallali
PsychédélicesIl n’y a qu’AlicePour croire aux merveillesApres le réveil
D’où est d’où vient l’hommePetit marcheur dans le réelD’où sont ses atomesDe quelle étoile de quelle étincelle
Tu crois que ton corps a des ailesQue l’ange GabrielEst là pour l’annonce
Doux est le satinQuand la nuit noire s’habille de whiteTa lampe d’AladinSoudain brille de cinq cent mille watts
Acide est le temps qui s’en vaVacille autour de toiTu n’en reviens pas
PsychédélicesDéli soleilTu bois le caliceJusqu’à l’hallali
PsychédélicesIl n’y a qu’AlicePour croire aux merveillesApres le réveil
D’où est d’où vient l’hommeC’est la question qui nous taraudeD’où est d’où est l’âmeQui donc a inventé le code
Avant toi tant d’autres ont cherchéA le toucher le cielMême artificiel
Doué pour volerL’oiseau existe ta jalousieFerme les voletsTu pourrais te prendre pour lui
Acide est la vie qui t’entoureAutour de moi l’amourA si peur du vide
PsychédélicesL’hélice s’éclipseTu bois le caliceJusqu’à l’hallali
PsychédélicesIl n’y a qu’AlicePour croire aux merveillesApres le réveil
D’où est d’où vient l’hommePetit marcheur dans le réelD’où sont ses atomesDe quelle étoile de quelle étincelle
Tu crois que ton corps a des ailesQue l’ange GabrielEst là pour l’annonce
Doux est le satinQuand la nuit noire s’habille de whiteTa lampe d’AladinSoudain brille de cinq cent mille watts
Acide est le temps qui s’en vaVacille autour de toiTu n’en reviens pas
PsychédélicesDéli soleilTu bois le caliceJusqu’à l’hallali
PsychédélicesIl n’y a qu’AlicePour croire aux merveillesApres le réveil
Décollage
La mélancolie dans le collimateurMême dans mon lit, sans ordinateurEscalier de rêve en colimaçonColimaçon, en colimaçon
Faire ses bagages pour l’invitationChoisir le maillot d’après l’inspirationJe pars d’un souffle et c’est la détonationDétonation, une détonation
Tu l’entends quand mon homme est malUn baiser et je prends le largeC’est le filon phénoménalDestination, une destination
Se retirer pour un voyageLe vivre en lettre capitalesPrendre l’envole en coquillageUne évasionC’est une évasion
Retomber pour un décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
Sans revenir a mes points de départCherche une étoile pour un rancardFaite une escale dans ma constellation
A l’aise dans ma bulle à carapaceLa tristesse n’a pas sa placeCe mal de l’aire est inlassableFaite attention, faite attention
Rechargée quand je sors de làSon regard me donne de laPalpitation. Des palpitations
Vien m’enlacer dans tes pétaleMa peau de nacre. Ta perle dortJ’y entre quand les anges dormentSituation. C’est la situation
Retomber pour un décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
Quand ma coquille est au creux de la vagueTu ne pourras pleurer qu’un milligrammeLa fée clochette est ma seul copiloteC’est de ma bulle que l’on passe a l’action
A l’intérieur je suis l’antidoteTout va se dérouler. Comme nous l’avionsPrévu. Avion? Mais ce n’est pas un avionComme un avion. Mais les ailes d’un oiseau
Décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
Retomber pour un décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
Retomber pour un décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
La mélancolie dans le collimateurMême dans mon lit, sans ordinateurEscalier de rêve en colimaçonColimaçon, en colimaçon
Faire ses bagages pour l’invitationChoisir le maillot d’après l’inspirationJe pars d’un souffle et c’est la détonationDétonation, une détonation
Tu l’entends quand mon homme est malUn baiser et je prends le largeC’est le filon phénoménalDestination, une destination
Se retirer pour un voyageLe vivre en lettre capitalesPrendre l’envole en coquillageUne évasionC’est une évasion
Retomber pour un décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
Sans revenir a mes points de départCherche une étoile pour un rancardFaite une escale dans ma constellation
A l’aise dans ma bulle à carapaceLa tristesse n’a pas sa placeCe mal de l’aire est inlassableFaite attention, faite attention
Rechargée quand je sors de làSon regard me donne de laPalpitation. Des palpitations
Vien m’enlacer dans tes pétaleMa peau de nacre. Ta perle dortJ’y entre quand les anges dormentSituation. C’est la situation
Retomber pour un décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
Quand ma coquille est au creux de la vagueTu ne pourras pleurer qu’un milligrammeLa fée clochette est ma seul copiloteC’est de ma bulle que l’on passe a l’action
A l’intérieur je suis l’antidoteTout va se dérouler. Comme nous l’avionsPrévu. Avion? Mais ce n’est pas un avionComme un avion. Mais les ailes d’un oiseau
Décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
Retomber pour un décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
Retomber pour un décollage. Sans altitudeJe m’échappe dans mon coquillage. Par certitude
Par les paupières
Les paupières souvent c’est lourdFaudrait bien les fermer un jourEt je chante l’ennui entre les lignesDes lance-pierres capricieuxS’il te plaît cligne des yeuxJe m’absente je plonge. Dans mes comptines
J’ai besoin de la prunelle, en guise de camisoleTu me rends lucioleDès que tu me sens plus belle, ne part pas ça m’isoléTu n’connais que si la sol
Ça passe pas par un masque avec les mots d’hierÇa passe par un regard caché sous les paupières
Je me sens capableAujourd’hui d’arrêter la pluieCet été le ciel est comédienLe marchand de sableEst parti, sans dire bonne nuitTant pis, j’ai le sommeil bohémien
Traverser l’hémisphèreA cheval sur la lumièreTu deviens mon héliportParcourir l’univers tout au long de tes paupièresRevenir avant l’aurore
Ça passe pas par un masque avec les mots d’hierÇa passe par un regard caché sous les paupières
Les paupières closes, tu ne vois rien de sombreJe suis ta choseA tes côtés, je perds mes songesLes paupières closesUne poussière d’ombreJe suis ta choseA tes côtés, je perds mes songes
Ça passe pas par un masque avec les mots d’hierÇa passe par un regard caché sous les paupières
Ça passe pas par un masque avec les mots d’hierÇa passe par un regard caché sous les paupières
Les paupières souvent c’est lourdFaudrait bien les fermer un jourEt je chante l’ennui entre les lignesDes lance-pierres capricieuxS’il te plaît cligne des yeuxJe m’absente je plonge. Dans mes comptines
J’ai besoin de la prunelle, en guise de camisoleTu me rends lucioleDès que tu me sens plus belle, ne part pas ça m’isoléTu n’connais que si la sol
Ça passe pas par un masque avec les mots d’hierÇa passe par un regard caché sous les paupières
Je me sens capableAujourd’hui d’arrêter la pluieCet été le ciel est comédienLe marchand de sableEst parti, sans dire bonne nuitTant pis, j’ai le sommeil bohémien
Traverser l’hémisphèreA cheval sur la lumièreTu deviens mon héliportParcourir l’univers tout au long de tes paupièresRevenir avant l’aurore
Ça passe pas par un masque avec les mots d’hierÇa passe par un regard caché sous les paupières
Les paupières closes, tu ne vois rien de sombreJe suis ta choseA tes côtés, je perds mes songesLes paupières closesUne poussière d’ombreJe suis ta choseA tes côtés, je perds mes songes
Ça passe pas par un masque avec les mots d’hierÇa passe par un regard caché sous les paupières
Ça passe pas par un masque avec les mots d’hierÇa passe par un regard caché sous les paupières
Lilly Town
WelcomeBienvenue à Lilly Town valleyLa ville color et en formeGranny pomme
London Ou Rome à côtésont démodéesIci pas de miss HiltonParis s’étonne
À Lilly TownLes enfants dansentSur des vieux MotownDans les cours d’école
Y a mêmeUn ciel si bleuQu’on peut y voir LucyQu’on peut y voir même si l’on veutJohn au GandhiOu l’on s’écrit des mots doux commeAl et SimoneLilly dans son lit rêve à Lilly Town
Seven petits hommes errentDans les bois dormantsSifflent Angie des Rolling StonesEn changeant l’air
Les nonnesOnt des cornettes pleines d’ice-creamDes oreillettes imaginentChanter Lennon
À Lilly TownLes enfants volentSur des vieux MotownDansent avec les trolls
Y a mêmeUn ciel si bleuQu’on peut y voir LucyQu’on peut y voir même si l’on veutJohn ou GandhiOu l’on s’écrit des mots doux commeAl et SimoneLilly dans son lit rêve à Lilly Town
À Lilly TownLes enfants dansentSur des vieux MotownDans les cours d’école.
Y a mêmeUn ciel si bleuQu’on peut y voir LucyQu’on peut y faire tout ce qu’on veutSelon ses voeuxOù l’on pique un tout petit sommeChez Al CaponeLe désir prend le tram à Lilly Town
Ad libitumFut le voyageBalai delayFaire Bree et le ménage
RavieDu bleu du cielEt des fa si fa solDes autres étoiles, aussi vuLe do, scellées au solCoco lait chocolat cookies macadamiamEt chaque soir des hommesQui jouent aux dames
À Lilly TownMême le temps danseSur des vieux MotownDans les heures de colle
Y a mêmeUn ciel si bleuQu’on peut y voir LucyQu’on peut y voir même si l’on veutJohn ou GandhiOu l’on s’écrit des mots doux commeAl et SimoneLilly dans son lit rêve à Lilly Town
À Lilly TownLes enfants volentSur des vieux MotownAu-dessus des ronces
Y a mêmeLe bleu du cielEt des fa si fa solDes autres étoiles, aussi vuLe do, scellées au solCoco lait chocolat cookies macadamiamLilly Town est un rêvePour toutes ces dames
WelcomeBienvenue à Lilly Town valleyLa ville color et en formeGranny pomme
London Ou Rome à côtésont démodéesIci pas de miss HiltonParis s’étonne
À Lilly TownLes enfants dansentSur des vieux MotownDans les cours d’école
Y a mêmeUn ciel si bleuQu’on peut y voir LucyQu’on peut y voir même si l’on veutJohn au GandhiOu l’on s’écrit des mots doux commeAl et SimoneLilly dans son lit rêve à Lilly Town
Seven petits hommes errentDans les bois dormantsSifflent Angie des Rolling StonesEn changeant l’air
Les nonnesOnt des cornettes pleines d’ice-creamDes oreillettes imaginentChanter Lennon
À Lilly TownLes enfants volentSur des vieux MotownDansent avec les trolls
Y a mêmeUn ciel si bleuQu’on peut y voir LucyQu’on peut y voir même si l’on veutJohn ou GandhiOu l’on s’écrit des mots doux commeAl et SimoneLilly dans son lit rêve à Lilly Town
À Lilly TownLes enfants dansentSur des vieux MotownDans les cours d’école.
Y a mêmeUn ciel si bleuQu’on peut y voir LucyQu’on peut y faire tout ce qu’on veutSelon ses voeuxOù l’on pique un tout petit sommeChez Al CaponeLe désir prend le tram à Lilly Town
Ad libitumFut le voyageBalai delayFaire Bree et le ménage
RavieDu bleu du cielEt des fa si fa solDes autres étoiles, aussi vuLe do, scellées au solCoco lait chocolat cookies macadamiamEt chaque soir des hommesQui jouent aux dames
À Lilly TownMême le temps danseSur des vieux MotownDans les heures de colle
Y a mêmeUn ciel si bleuQu’on peut y voir LucyQu’on peut y voir même si l’on veutJohn ou GandhiOu l’on s’écrit des mots doux commeAl et SimoneLilly dans son lit rêve à Lilly Town
À Lilly TownLes enfants volentSur des vieux MotownAu-dessus des ronces
Y a mêmeLe bleu du cielEt des fa si fa solDes autres étoiles, aussi vuLe do, scellées au solCoco lait chocolat cookies macadamiamLilly Town est un rêvePour toutes ces dames
Lonely list
Quand je suis tristeJe fais n’importe quoi
Je suis une actristeQuelques fois
Quelque cicatristesSur ma peauBrouillent les pistesJusqu’au cerveau
Lonely listMon bébé blueLonely listTon visage est flou
Je suis une ac-tristeEt je joueDes rôles de tristeDes rôles de fouJe ne suis pas solisteJ’ai besoin de toiNi même polémisteD’accord avec toi
Lonely listMon bébé blueLonely listTon visage est flou
Sur ma lonely listToi tu es le seul inscritMais s’il tombaitQuelques gouttes de pluieSur mon carnet noirDe moleskineTon nom serait àJamais en ruine
Lonely listSerait dissoutLonely listMon bébé blue
Lonely listSerait dissoutLonely listMon bébé blue
Ma lonely listQuelques tours de piste et puis c’est tout…
Ma lonely listQuelques tours de piste et puis c’est tout…
Ma lonely listQuelques tours de piste et puis c’est tout…
Ma lonely listQuelques tours de piste et puis c’est tout…
Quand je suis tristeJe fais n’importe quoi
Je suis une actristeQuelques fois
Quelque cicatristesSur ma peauBrouillent les pistesJusqu’au cerveau
Lonely listMon bébé blueLonely listTon visage est flou
Je suis une ac-tristeEt je joueDes rôles de tristeDes rôles de fouJe ne suis pas solisteJ’ai besoin de toiNi même polémisteD’accord avec toi
Lonely listMon bébé blueLonely listTon visage est flou
Sur ma lonely listToi tu es le seul inscritMais s’il tombaitQuelques gouttes de pluieSur mon carnet noirDe moleskineTon nom serait àJamais en ruine
Lonely listSerait dissoutLonely listMon bébé blue
Lonely listSerait dissoutLonely listMon bébé blue
Ma lonely listQuelques tours de piste et puis c’est tout…
Ma lonely listQuelques tours de piste et puis c’est tout…
Ma lonely listQuelques tours de piste et puis c’est tout…
Ma lonely listQuelques tours de piste et puis c’est tout…
Idéaliser
Elle est seule sur le solCoulant sous l’alcoolLe vernis se craquelleSous l’idole
Se poudrer le facièsEnrober de soieCe qui blesse et qu’on laisseDerrière soi
IdéaliserUn passé briséPas réaliserQu’il n’est plus là
IdéaliserJuste supposerQu’elle a tout oséEt lui poserUn dernier baiserUn baiser
Ses bras ont défiléDans les nuits blanchesBlanche-neige exhibéeAux archanges
Il neige sur DowntownFin des seventiesLe temps c’est de l’automneSans surprise
IdéaliserUn passé briséPas réaliserQu’il n’est plus là
IdéaliserSe faire une beautéRetourner la scèneViser
L’aller sans retourLe saut dans le videLa petite club-kid
N’aime plus le jour
IdéaliserJuste supposer
Qu’elle a tout oséEt lui poserUn dernier baiser
Elle est seule sur le solCoulant sous l’alcoolLe vernis se craquelleSous l’idole
Se poudrer le facièsEnrober de soieCe qui blesse et qu’on laisseDerrière soi
IdéaliserUn passé briséPas réaliserQu’il n’est plus là
IdéaliserJuste supposerQu’elle a tout oséEt lui poserUn dernier baiserUn baiser
Ses bras ont défiléDans les nuits blanchesBlanche-neige exhibéeAux archanges
Il neige sur DowntownFin des seventiesLe temps c’est de l’automneSans surprise
IdéaliserUn passé briséPas réaliserQu’il n’est plus là
IdéaliserSe faire une beautéRetourner la scèneViser
L’aller sans retourLe saut dans le videLa petite club-kid
N’aime plus le jour
IdéaliserJuste supposer
Qu’elle a tout oséEt lui poserUn dernier baiser
l’effet
Je croyais t’avoir faitePetite féeMais c’est toi qui me faisBien plus que de l’effet
C’est toi qui m’as faitDevenir un peu divineEn te donnant ta vieJe devine que tu vas me ravirToute la vieEt chaque jour que dieu faitJe te fête
Les arbres sous le ventQui soulève ce drapSe balance pour toiQue faisaient-ils avant
Le marbre sous le ventQui se lève et t’enlèveSe gravera du nomQue tu lis sur mes lèvresTon nom que tout prononceBien avant qu’il t’annonce
Je croyais t’avoir faitePetite féeMais c’est toi qui me faisBien plus que de l’effet
Long sera l’effetToujours il va durerDe moi à tes annéesL’effet mèreToujours il va durerL’effet mère
J’adore quand tu t’endorsJe te rêve éveilléeTu es plus qu’un trésorUn secret à bercer
Et le ciel peut s’attendreA te tendre les brasJ’ai le cœur à pierre fendreDes bonheurs d’ici-basIl n’y a rien à comprendreL’amour est hors la loi
Je croyais t’avoir faitePetite féeMais c’est toi qui me faisBien plus que de l’effet
Long sera l’effetToujours il va durerDe moi à tes annéesL’effet mèreToujours il va durerL’effet mère
Je croyais t’avoir faitePetite féeMais c’est toi qui me faisBien plus que de l’effet
C’est toi qui m’as faitDevenir un peu divineEn te donnant ta vieJe devine que tu vas me ravirToute la vieEt chaque jour que dieu faitJe te fête
Les arbres sous le ventQui soulève ce drapSe balance pour toiQue faisaient-ils avant
Le marbre sous le ventQui se lève et t’enlèveSe gravera du nomQue tu lis sur mes lèvresTon nom que tout prononceBien avant qu’il t’annonce
Je croyais t’avoir faitePetite féeMais c’est toi qui me faisBien plus que de l’effet
Long sera l’effetToujours il va durerDe moi à tes annéesL’effet mèreToujours il va durerL’effet mère
J’adore quand tu t’endorsJe te rêve éveilléeTu es plus qu’un trésorUn secret à bercer
Et le ciel peut s’attendreA te tendre les brasJ’ai le cœur à pierre fendreDes bonheurs d’ici-basIl n’y a rien à comprendreL’amour est hors la loi
Je croyais t’avoir faitePetite féeMais c’est toi qui me faisBien plus que de l’effet
Long sera l’effetToujours il va durerDe moi à tes annéesL’effet mèreToujours il va durerL’effet mère
UNE ENFANT DU SIECLE
Eden, Eden
Nous sommes toutes les filles de l’EdenNous dévalons ses rues cendréesAu coeur d’un éternel été
Nous sommes les demoiselles d’EdenLes châtelaines au coeur scelléQui cède au quatorzième été
Les soleils mourantsDe ces ciels voilésSont mes adieux en grand
Les soleils voilésDe ces ciels noyésSont mes adieux en grand
Au coeur du coeur de la nationToutes les jeunes filles sont des fauconsLes ombres refluent sous les buissonsSur toutes les peaux vierges de l’EdenS’envolent les colombes de l’EdenQui soufflent au génie du lieuLeurs adieux
Les soleils mourantsDe ces ciels voilésSont mes adieux en grand
Les soleils voilésDe ces ciels noyésSont mes adieux en grand
Le vent gonflait les voiles de l’EdenLançait les filles américainesA l’assaut de villes inhumaines
Couvre tes bras nus, ô mon EdenDans la vie on se quitte, on romptOn finit seul sous les flaconsOh, adieu
Les soleils mourantsDe ces ciels voilésSont mes adieux en grand
Les soleils voilésDe ces ciels noyésSont mes adieux en grand
Les soleils mourantsDe ces ciels voilésSont mes adieux en grand
Les soleils voilésDe ces ciels noyésSont mes adieux en grand
Promis, j’appelleraiMais il le faut, je m’en vaisDans le feuilleton des feuillesParmi les vaisseaux,Parmi les fusées de l’Eden
Grand Central
Ça y estConverse lacéesCheveux lâchésOn est arrivéDedansAh comme c’est beauDans les échosSous la coupoleC’est mieux encoreUne fois dehorsIl fait si bleuIl fait si bruitNous sommes si peu(J’ai faim, mon dieu, j’ai faim)
Grand CentralGrand CentralTout le monde descend
Deux flèchesLes feux revêchesLe manteau croiséLes épaules carréesDu vétéranLes policiersLeurs pommes d’AdamC’est le printempsLes tours d’acierQuarante-deuxième rueMillième avenueL’armée du salutY a pas d’horizon(C’est de la science-fiction)
Grand CentralGrand CentralPersonne l’attend, mais
Elle attendait une limousine sous l’auvent de TiffanyOn aurait dit la fille du président, une vraie pesteSous les bords de sa capeline grésillait une LuckyElle me demande qui je connais sur la côte Est
Entre l’azur et ses yeux blonds, le soleil a choisiEdie, Edie, fille de paille, Edie de la FactoryEdie était du genre plutôt très belle
Grand CentralGrand CentralTout le monde descendGrand CentralGrand CentralPersonne l’attend
Limelight
Dream always and all ways
I don’t know where I’m going,Looking for the limelight (bright)I can’t recall where I’ve been
In this long long white nightFind a way and awayI don’t know if I should?
Burning waves of ecstasy? Oui?Stairs, lights, music, sweatScares, fright, panic, threat
La Candida
Yo aqui tu alláPor mí volverásMe muero me muero
Lo sé eres fielJamás mentirásNo olvidarásNo hay otra más¿A quien amarásSi no es a mi?
Soy la candidaEnamoradaYo creo en ti (yo te creí)
Soy la CandidaTú no me engañasPiensas en mi
Lo sé eres fielJamás mentirásMe muero me muero¿Feliz tu sin mi?¡Oh dios no podrás!Vives aquíAquí muy aquíSolo para miYo creo en tí
Soy la CandidaEnamoradaPiensas en mi (Yo te creí)
Soy la CandidaTú no me engañasPiensas en mi
Candida Ciega
Candida
Les Collines (Never Leave You)
Poursuivie, j’ai gagné les collinesJ’ai pris le maquisSemé les chiens de chasse, effacé mes tracesMaquillé ma fuite
Mes valises sont vides, mon coeur légerLéger
Never wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever ever wanna leave youNever ever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNew York I’m sorry, I loved you soBut I have to goTes vitrines infinies, tes horizons dorés,Je veux m’en passerAuprès des Hespérides, j’irai panserDe grands félins timides, des cygnes blessésBlessés
Never wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever ever wanna leave youNever ever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave you
Mes valises sont vides, mon coeur légerLéger
Never wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever ever wanna leave youNever ever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave you
14 Décembre
e14 décembre de cinq à septGrand vent d’ouest, la ville trembleCinq quaaludes, sept percocetJe me rendors parmi les cendres
Des croix et des croisés
Si ce soir c’est la guerre, je suis paréeDe toute l’armée j’ai les plus belles armesJe ne ferai pas de prisonniersSoir après soirDexedrine et dollarsNuit après nuitMa vieSous un feu nourri de regardsSoir après soir
Quatorzième nuit de décembreLa lune ouvre un oeil lysergiqueMon taxi aux vitres sombresComme sans pilote file en automatique
Des croix et des croisés
Au bout d’un long corridorLa musique règne comme une idole d’orOù s’accolent les humains dérisoirement
Soir après soirMille milliers de petits départsNuit après nuitMa vieSous un feu roulant de regardsSoir après soir
Soir après soirDix milliards de petits départsNuit après nuitMa vieSous un feu roulant de regardsSoir après soir
A Coeur fendre
J’ai forcé la porte des enfersJ’ai rompu le sceau défenduPour toi
Détourné le cours d’un volcanPour réchauffer tes bras tremblantsPour toi
Le ciel est noirLa vie est sombreIl gèle à pierre fendreJ’ai froid
J’ai avancé l’heure de l’auroreJ’ai brusqué le retour des fleursPour toiJ’ai fait les vitres, changé l’ampouleEtouffé les cris de la foulePour toi
Le siècle s’effondreDébris, décombresIl gèle à coeur fendreJ’ai froid
Il n’y a plus un bruit dans le jardin d’hiverNous nous abritons sous les ramures contraires
Sans toi, le mondeVacille, succombeIl gèle à coeur fendreJ’ai froid
(Sans toi)
Factory Girl
C’est la fin de la balladePour adorable adoSeule face au HasselbladFendue de bas en haut
Inanimée, docileFaçon petit soldatScrutée de long en largeDe trois quart, de profil
Factory GirlSur le fil du miroirFactory GirlToutes les couleurs du noir
C’est la plongée dans l’abîmeD’un jeune oiseau de proieSoumis aux lois du filmArgentique qui décroîtVu d’en haut c’est sublimeNon rien ne vous déçoitLa plongée dans l’abîmeN’en a que plus d’éclat
Factory GirlDernier drame, dernière scèneFactory GirlC’est à peine de la peine
Factory GirlOn reprendra demainFactory GirlJusqu’à la fin des fins des fins des fins des fins
Une Fille Difficile
Souvent je vireÀ l’orageLa vie chavireÀ la margeUne fille difficileDu feu sous les cilsDésaccordéeUne fille indocileMais quand tu m’écrisEcoute, reviens, pardon, tu sais, je t’aime, oublieJ’y crois, j’oublie
Faut-il me confisquer ?Me capturer ?Faut-il m’échapper ?Faut-il m’aimer ?Souvent rétiveAux regretsEt fugitiveÀ regretUne fille indocileDu feu sous les cilsParfois fautiveUne fille difficileEt si je m’en vaisJ’habite encore tes bras, ta voix, tes heures, ton coeurComme un remords
Faut-il me confisquer ?Me conjurer ?Faut-il m’échapper ?Faut-il m’aimer ?
Faut-il me confisquer ?Me capturer ?Faut-il m’échapper ?Faut-il m’aimer ?
Mes Fantômes
Oh mes fantômes, mes zones sombres, mes heures d’ombre, mes dangers, mes miragesOh mes erreurs, mes faux-fuyants, mes cousus blanc, mes histoires, mes calvairesOh mes enfants, mes feux filants, dieux innocents, mes héros solitairesOh mes amours, nos jeux troublants, tes yeux brûlants, mes larmes, mes miracles
Oh mes secrets, mes ?uvres au noir, sans l’air d’y croire, mes regrets, mes silencesOh mon enfant, mon diamant noir, mon solitaire, mon petit, ma prière
Nous sommes toutes les filles de l’EdenNous dévalons ses rues cendréesAu coeur d’un éternel été
Nous sommes les demoiselles d’EdenLes châtelaines au coeur scelléQui cède au quatorzième été
Les soleils mourantsDe ces ciels voilésSont mes adieux en grand
Les soleils voilésDe ces ciels noyésSont mes adieux en grand
Au coeur du coeur de la nationToutes les jeunes filles sont des fauconsLes ombres refluent sous les buissonsSur toutes les peaux vierges de l’EdenS’envolent les colombes de l’EdenQui soufflent au génie du lieuLeurs adieux
Les soleils mourantsDe ces ciels voilésSont mes adieux en grand
Les soleils voilésDe ces ciels noyésSont mes adieux en grand
Le vent gonflait les voiles de l’EdenLançait les filles américainesA l’assaut de villes inhumaines
Couvre tes bras nus, ô mon EdenDans la vie on se quitte, on romptOn finit seul sous les flaconsOh, adieu
Les soleils mourantsDe ces ciels voilésSont mes adieux en grand
Les soleils voilésDe ces ciels noyésSont mes adieux en grand
Les soleils mourantsDe ces ciels voilésSont mes adieux en grand
Les soleils voilésDe ces ciels noyésSont mes adieux en grand
Promis, j’appelleraiMais il le faut, je m’en vaisDans le feuilleton des feuillesParmi les vaisseaux,Parmi les fusées de l’Eden
Grand Central
Ça y estConverse lacéesCheveux lâchésOn est arrivéDedansAh comme c’est beauDans les échosSous la coupoleC’est mieux encoreUne fois dehorsIl fait si bleuIl fait si bruitNous sommes si peu(J’ai faim, mon dieu, j’ai faim)
Grand CentralGrand CentralTout le monde descend
Deux flèchesLes feux revêchesLe manteau croiséLes épaules carréesDu vétéranLes policiersLeurs pommes d’AdamC’est le printempsLes tours d’acierQuarante-deuxième rueMillième avenueL’armée du salutY a pas d’horizon(C’est de la science-fiction)
Grand CentralGrand CentralPersonne l’attend, mais
Elle attendait une limousine sous l’auvent de TiffanyOn aurait dit la fille du président, une vraie pesteSous les bords de sa capeline grésillait une LuckyElle me demande qui je connais sur la côte Est
Entre l’azur et ses yeux blonds, le soleil a choisiEdie, Edie, fille de paille, Edie de la FactoryEdie était du genre plutôt très belle
Grand CentralGrand CentralTout le monde descendGrand CentralGrand CentralPersonne l’attend
Limelight
Dream always and all ways
I don’t know where I’m going,Looking for the limelight (bright)I can’t recall where I’ve been
In this long long white nightFind a way and awayI don’t know if I should?
Burning waves of ecstasy? Oui?Stairs, lights, music, sweatScares, fright, panic, threat
La Candida
Yo aqui tu alláPor mí volverásMe muero me muero
Lo sé eres fielJamás mentirásNo olvidarásNo hay otra más¿A quien amarásSi no es a mi?
Soy la candidaEnamoradaYo creo en ti (yo te creí)
Soy la CandidaTú no me engañasPiensas en mi
Lo sé eres fielJamás mentirásMe muero me muero¿Feliz tu sin mi?¡Oh dios no podrás!Vives aquíAquí muy aquíSolo para miYo creo en tí
Soy la CandidaEnamoradaPiensas en mi (Yo te creí)
Soy la CandidaTú no me engañasPiensas en mi
Candida Ciega
Candida
Les Collines (Never Leave You)
Poursuivie, j’ai gagné les collinesJ’ai pris le maquisSemé les chiens de chasse, effacé mes tracesMaquillé ma fuite
Mes valises sont vides, mon coeur légerLéger
Never wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever ever wanna leave youNever ever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNew York I’m sorry, I loved you soBut I have to goTes vitrines infinies, tes horizons dorés,Je veux m’en passerAuprès des Hespérides, j’irai panserDe grands félins timides, des cygnes blessésBlessés
Never wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever ever wanna leave youNever ever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave you
Mes valises sont vides, mon coeur légerLéger
Never wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave youNever ever wanna leave youNever ever wanna leave youNever wanna leave youNever wanna leave you
14 Décembre
e14 décembre de cinq à septGrand vent d’ouest, la ville trembleCinq quaaludes, sept percocetJe me rendors parmi les cendres
Des croix et des croisés
Si ce soir c’est la guerre, je suis paréeDe toute l’armée j’ai les plus belles armesJe ne ferai pas de prisonniersSoir après soirDexedrine et dollarsNuit après nuitMa vieSous un feu nourri de regardsSoir après soir
Quatorzième nuit de décembreLa lune ouvre un oeil lysergiqueMon taxi aux vitres sombresComme sans pilote file en automatique
Des croix et des croisés
Au bout d’un long corridorLa musique règne comme une idole d’orOù s’accolent les humains dérisoirement
Soir après soirMille milliers de petits départsNuit après nuitMa vieSous un feu roulant de regardsSoir après soir
Soir après soirDix milliards de petits départsNuit après nuitMa vieSous un feu roulant de regardsSoir après soir
A Coeur fendre
J’ai forcé la porte des enfersJ’ai rompu le sceau défenduPour toi
Détourné le cours d’un volcanPour réchauffer tes bras tremblantsPour toi
Le ciel est noirLa vie est sombreIl gèle à pierre fendreJ’ai froid
J’ai avancé l’heure de l’auroreJ’ai brusqué le retour des fleursPour toiJ’ai fait les vitres, changé l’ampouleEtouffé les cris de la foulePour toi
Le siècle s’effondreDébris, décombresIl gèle à coeur fendreJ’ai froid
Il n’y a plus un bruit dans le jardin d’hiverNous nous abritons sous les ramures contraires
Sans toi, le mondeVacille, succombeIl gèle à coeur fendreJ’ai froid
(Sans toi)
Factory Girl
C’est la fin de la balladePour adorable adoSeule face au HasselbladFendue de bas en haut
Inanimée, docileFaçon petit soldatScrutée de long en largeDe trois quart, de profil
Factory GirlSur le fil du miroirFactory GirlToutes les couleurs du noir
C’est la plongée dans l’abîmeD’un jeune oiseau de proieSoumis aux lois du filmArgentique qui décroîtVu d’en haut c’est sublimeNon rien ne vous déçoitLa plongée dans l’abîmeN’en a que plus d’éclat
Factory GirlDernier drame, dernière scèneFactory GirlC’est à peine de la peine
Factory GirlOn reprendra demainFactory GirlJusqu’à la fin des fins des fins des fins des fins
Une Fille Difficile
Souvent je vireÀ l’orageLa vie chavireÀ la margeUne fille difficileDu feu sous les cilsDésaccordéeUne fille indocileMais quand tu m’écrisEcoute, reviens, pardon, tu sais, je t’aime, oublieJ’y crois, j’oublie
Faut-il me confisquer ?Me capturer ?Faut-il m’échapper ?Faut-il m’aimer ?Souvent rétiveAux regretsEt fugitiveÀ regretUne fille indocileDu feu sous les cilsParfois fautiveUne fille difficileEt si je m’en vaisJ’habite encore tes bras, ta voix, tes heures, ton coeurComme un remords
Faut-il me confisquer ?Me conjurer ?Faut-il m’échapper ?Faut-il m’aimer ?
Faut-il me confisquer ?Me capturer ?Faut-il m’échapper ?Faut-il m’aimer ?
Mes Fantômes
Oh mes fantômes, mes zones sombres, mes heures d’ombre, mes dangers, mes miragesOh mes erreurs, mes faux-fuyants, mes cousus blanc, mes histoires, mes calvairesOh mes enfants, mes feux filants, dieux innocents, mes héros solitairesOh mes amours, nos jeux troublants, tes yeux brûlants, mes larmes, mes miracles
Oh mes secrets, mes ?uvres au noir, sans l’air d’y croire, mes regrets, mes silencesOh mon enfant, mon diamant noir, mon solitaire, mon petit, ma prière